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Faille de sécurité en entreprise : comment se prémunir efficacement ?

Rédigé par LockSelf | 07 août 2024

Pour infiltrer les réseaux , les hackers peuvent utiliser une porte d’entrée souvent sous-estimée : les failles de sécurité. Ces vulnérabilités peuvent impacter n’importe quel service connecté utilisé en entreprise, et sont invisibles pour la DSI si elles ne sont pas signalées par les développeurs de la solution, ou par un audit de sécurité interne. Alors, comment identifier les failles de sécurité avant qu’elles ne soient exploitées ? Quelles sont les bonnes pratiques pour s’en prémunir, et éviter les dégâts causés par une cyberattaque réussie ? Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur les failles de sécurité, et nos conseils pour s’en protéger en entreprise.

 

Qu'est-ce qu'une faille de sécurité ?

 

Définition d'une faille de sécurité

 

Une faille de sécurité, également connue sous le terme de vulnérabilité, est une faiblesse ou une lacune dans un système informatique, un réseau, une application ou un logiciel qui peut être exploitée par un cyberattaquant pour compromettre la sécurité du SI. Ces failles peuvent résulter de diverses causes, que ce soient des erreurs de programmation, des configurations incorrectes, des défauts de conception ou l'absence de mises à jour et de correctifs de sécurité.

 

En entreprise ou ailleurs, lorsqu'une faille de sécurité est identifiée, elle doit être corrigée rapidement pour éviter qu'elle ne soit exploitée par des cybercriminels.

Pour information et selon le dernier Cyber Threat Index de Coalition, près de 1 900 vulnérabilités étaient découvertes en moyenne chaque mois en 2023, soit 13% de plus qu’en 2022.1 Plus inquiétant encore, le State of Software Security 2024 Report rapporte qu’environ 74 % des applications en circulation comportent des failles de sécurité.2

 

Le système CVE, référentiel des failles de sécurité

 

Le CVE, acronyme de Common Vulnerabilities and Exposures, est une liste publique de failles de sécurité informatique, gérée par l'organisation MITRE. Chaque vulnérabilité identifiée reçoit un identifiant CVE unique, ce qui permet de la référencer précisément et de faciliter le partage d'informations à son sujet. Les avis de sécurité publiés par les fournisseurs de logiciels et les développeurs mentionnent presque toujours un identifiant CVE pour chaque faille signalée. L’objectif est d’aider les professionnels de la sécurité à coordonner leurs efforts pour prioriser et résoudre les vulnérabilités, avant qu’elles ne soient exploitées par des pirates informatiques. 


Pour les entreprises, vérifier régulièrement les bases de données CVE permet de se tenir au courant des failles existantes et nouvellement découvertes pour les corriger le plus tôt possible, et sécuriser au mieux le SI.



Consulter les dernières vulnérabilités identifiées dans le référentiel CVE.

 

Les conséquences d'une faille de sécurité non corrigée

 

Les conséquences d’une faille de sécurité non corrigée peuvent être nombreuses, impactant tant la réputation que les finances d'une entreprise. Voici quelques exemples des risques encourus, en cas de vulnérabilité non corrigée :

 

  • Vol de données sensibles : les hackers peuvent accéder à des informations confidentielles comme les données personnelles des clients, les informations financières de l’organisation ou des secrets commerciaux, entraînant des pertes financières et des dommages à la réputation.

  • Interruption des opérations : une cyberattaque exploitant une faille de sécurité peut provoquer une interruption des services, affectant la productivité de l’entreprise et par extension la satisfaction des clients.

  • Infection par des logiciels malveillants : les cybercriminels peuvent injecter des malwares tels que des ransomwares dans le système, ce qui peut entraîner la prise en otages des données,  des demandes de rançon pour leur restitution, ou encore la mise à l’arrêt du SI.

  • Utilisation des ressources informatiques : les attaquants peuvent utiliser les ressources de l'entreprise pour mener des activités malveillantes, comme le lancement d'attaques DDoS contre d'autres cibles.


Pertes financières et conséquences légales : les coûts associés à la gestion des incidents, à la restauration des systèmes et aux actions en justice peuvent être élevés. Côté juridique, ne pas corriger les failles de sécurité peut entraîner des amendes pour non-conformité aux réglementations en matière de protection des données.

 

 

Les différents types de failles de sécurité

 

Les failles zero-day

 

Les failles zero-day sont des vulnérabilités inconnues des développeurs d’un service (application, logiciel…), et pour lesquelles aucun correctif n'est encore disponible. Les cybercriminels exploitent ces failles dès qu'elles sont découvertes, avant même que les éditeurs de logiciels en prennent connaissance. Cette exploitation rapide débouche sur des attaques zero-day, particulièrement dangereuses. En 2023, Google affirme que 97 failles zero-day ont été exploitées par des hackers, contre 62 en 2022, ce qui représente une augmentation de 50 % d'une année sur l'autre.3

Les entreprises doivent donc se tenir informées des découvertes de failles zero-day et appliquer immédiatement les correctifs dès qu'ils sont disponibles pour se protéger efficacement. En attendant la mise à disposition de correctifs, l’utilisation du service concerné par cette faille peut-être restreint afin de limiter les risques pour l’entreprise.

 

Les injections SQL

 

L'injection SQL est une technique d'attaque dans laquelle des hackers insèrent des requêtes SQL malveillantes dans les champs d'entrée de données d'une application web. Cette manipulation permet aux cybercriminels d'exécuter des commandes SQL non prévues par le développeur, ce qui peut entraîner un accès non autorisé dans la base de données de l'application.


Cette faille de sécurité survient principalement en raison d'une validation inadéquate des entrées utilisateur. Par exemple, si un formulaire de saisie de texte accepte des entrées sans les vérifier ou les filtrer, un attaquant peut insérer du code SQL malveillant qui sera ensuite exécuté par la base de données. Les conséquences d'une injection SQL peuvent être très graves. Les attaquants peuvent accéder à des informations sensibles (identifiants de connexion, informations personnelles, des données financières..) et peuvent également modifier ou supprimer des données, ce qui peut altérer l'intégrité des informations stockées et entraîner une perte de données critique pour l'entreprise. Dans certains cas, l'injection SQL peut même permettre aux attaquants de prendre le contrôle du serveur de BDD ou du serveur d'application. 


Pour se protéger contre les injections SQL, il est indispensable de valider et de filtrer correctement toutes les entrées utilisateur, d'utiliser des requêtes paramétrées et des procédures stockées, et de restreindre les privilèges de base de données. 


La validation et le filtrage des entrées consistent à vérifier que les données saisies par le collaborateur ne contiennent pas de code malveillant avant de les traiter. Les requêtes paramétrées et les procédures stockées permettent quant à elles de séparer les commandes SQL des données fournies par l'utilisateur, empêchant ainsi l'exécution de code malveillant. Enfin, la restriction des privilèges de base de données (ou segmentation des droits) limite les actions qu'un hacker pourrait effectuer, même s'il parvient à exécuter des commandes SQL non autorisées.

 

 

Le CrosSite Scripting

 

Le Cross-Site Scripting (XSS) est une faille de sécurité permettant à des attaquants d'injecter du code malveillant dans des pages web consultées par d'autres utilisateurs. Cela peut conduire au vol de cookies, à l'usurpation d'identité ou à la redirection vers des sites de phishing, par exemple.

Il existe plusieurs types d'attaques XSS :


  • Les attaques XSS stocké : le code malveillant est stocké directement sur le serveur, souvent dans une base de données, et est ensuite affiché sur des pages web consultées par les utilisateurs. Par exemple, un attaquant pourrait insérer un script malveillant dans un champ de commentaire sur un site web. Chaque fois qu'un utilisateur consulte la page contenant ce commentaire, le script est exécuté dans son navigateur.

  • Les attaques XSS réfléchi : dans ce type de cyberattaques, le code malveillant est injecté dans un lien ou une requête HTTP et renvoyé immédiatement par le serveur. Par exemple, un hacker pourrait envoyer un lien piégé à un utilisateur. Lorsque l'utilisateur clique sur le lien, le script malveillant est exécuté dans son navigateur.

  • Les attaques XSS basé sur le DOM : cette attaque exploite les failles du Document Object Model (DOM) du navigateur web. Le code malveillant est exécuté lorsque le navigateur traite le contenu de la page web, sans qu'il soit nécessaire d'interagir avec le serveur.

Pour prévenir les compromissions dues à une faille Cross-Site Scripting, il est recommandé de valider et de désinfecter toutes les entrées utilisateur. Cela signifie que tout contenu potentiellement dangereux, comme des scripts, doit être filtré avant d'être traité par le serveur ou le navigateur. Par exemple, en utilisant des fonctions de validation pour vérifier que les entrées ne contiennent pas de code malveillant et en appliquant des filtres pour éliminer ou neutraliser les scripts.


L'utilisation d'en-têtes de sécurité appropriés est également préconisée. Les en-têtes de sécurité HTTP, (comme Content Security Policy (CSP) ), peuvent aider à prévenir l'exécution de scripts non autorisés en définissant quelles sources de contenu sont autorisées à être exécutées par le navigateur.


Enfin, côté développement, des pratiques de codage sécurisées doivent être mises en place, comme l'encodage des données sorties et l'évitement de l'insertion directe de données utilisateur dans le HTML ou le JavaScript. Utiliser des frameworks et des bibliothèques de développement web qui incluent des protections intégrées contre les XSS renforce également la sécurité.

 

L'authentification faible

 

L'authentification faible représente une vulnérabilité, dans le sens où les mécanismes d'authentification sont insuffisamment robustes pour protéger les comptes utilisateurs. Cela peut inclure des mots de passe faibles, l'absence d’authentification multifacteurs, ou des protocoles de gestion de session et privilèges inadaptés.

Les conséquences d'une authentification faible peuvent être graves, incluant le piratage de comptes et l'accès non autorisé à des informations sensibles. 


Pour renforcer la sécurité des authentifications, il est recommandé d'imposer des politiques de gestion des accès et des identités (IAM) strictes, avec des mots de passe forts et de la MFA pour ajouter une couche de sécurité supplémentaire lors de l’authentification. Aussi, les bonnes pratiques de gestion des sessions, comme la déconnexion automatique des utilisateurs après une période d'inactivité et l'utilisation de jetons de session sécurisés permettent de réduire les risques liés à l’authentification faible.

 

Une mauvaise configuration de sécurité

 

La mauvaise configuration de sécurité est une faille courante qui expose les systèmes, les applications et les réseaux à des risques significatifs. Elle survient lorsque des systèmes, des applications ou des réseaux sont configurés de manière incorrecte, laissant des portes ouvertes pour les cyberattaquants. Cela comprend notamment :

 

  • L’utilisation de paramètres par défaut non sécurisés sur des logiciels ou des appareils.

  • Des ports réseau ouverts mais inutilisés qui peuvent être utilisés pour des intrusions.

  • Des services activés sans nécessité qui créent des vecteurs d'attaque potentiels.

  • Des configurations de serveur web mal ajustées permettant l'accès non autorisé à des fichiers sensibles.


Pour prévenir ces failles, il est indispensable de suivre des lignes directrices de configuration sécurisée, et ce dès l'installation initiale des systèmes et logiciels. Cela implique de modifier les paramètres par défaut pour des configurations plus sécurisées, de désactiver les services et les ports réseau non utilisés, et de cloisonner les droits d’accès. Réaliser régulièrement des audits de configuration est également recommandé pour identifier et corriger les erreurs de configuration avant qu'elles ne soient exploitées par des pirates.

 

Les vulnérabilités de plugins et frameworks

 

Les plugins sont des modules complémentaires qui ajoutent des fonctionnalités spécifiques à une application ou un site web, alors que les frameworks fournissent une structure de base pour le développement d'applications. Bien que conçus pour faciliter le développement, ils peuvent introduire des vulnérabilités si leurs propres failles de sécurité ne sont pas corrigées. 

 

Les vulnérabilités dans les plugins et frameworks sont particulièrement dangereuses car elles peuvent affecter simultanément de nombreux systèmes. Une faille découverte dans un plugin ou framework largement utilisé peut en effet ouvrir la porte à des cyberattaques massives, permettant aux hackers d'accéder à des données sensibles, de détourner des comptes, d'installer des logiciels malveillants ou de prendre le contrôle de systèmes entiers.

Pour se prémunir contre ces risques, il est plus que recommandé de maintenir tous les plugins et frameworks à jour, d'utiliser uniquement des extensions provenant de sources fiables, et de surveiller activement les avis de sécurité et les mises à jour fournies par les développeurs.

 

Les risques liés aux failles de sécurité

 

1. Piratage de données sensibles

 

Le piratage de données sensibles est l'un des risques les plus graves liés aux failles de sécurité. 


Comme évoqué plus haut, lorsque des vulnérabilités existent dans un système, les attaquants peuvent les exploiter pour accéder à des informations confidentielles. Ces données peuvent inclure des identifiants de connexion, des informations personnelles, des données financières, des secrets commerciaux et des informations médicales. Une fois que les attaquants ont accès à ces données, ils peuvent les utiliser à des fins malveillantes, comme le vol d'identité, la fraude financière ou le chantage. Les conséquences pour les entreprises sont également sévères, allant de la perte de confiance des clients et partenaires à des amendes réglementaires et des poursuites judiciaires.


2. Attaques par Déni de Service Distribué (DDoS)

 

Les attaques par Déni de Service Distribué (DDoS) sont une autre menace majeure résultant des failles de sécurité. Dans une attaque DDoS, les cybercriminels compromettent plusieurs ordinateurs ou dispositifs connectés et les utilisent pour envoyer un grand nombre de requêtes à un serveur cible, saturant ainsi ses ressources et rendant les services indisponibles pour les utilisateurs légitimes. 


Ces attaques peuvent paralyser les opérations d'une entreprise, entraînant des pertes financières importantes et des dommages à la réputation. De plus, les attaques DDoS peuvent être utilisées comme distraction, tandis que les attaquants exploitent d'autres vulnérabilités pour infiltrer les systèmes et voler des données sensibles.


3. Exposition aux logiciels malveillants

 

Les vulnérabilités non-corrigées peuvent également exposer les systèmes à divers types de logiciels malveillants (virus, chevaux de Troie, ransomwares, spywares...)

Les cyberattaquants exploitent les failles de sécurité pour installer ces logiciels sur les systèmes des victimes sans leur consentement. Une fois installés, ils peuvent causer des dommages considérables. Par exemple, les ransomwares chiffrent les données de l'utilisateur et exigent une rançon pour les déchiffrer, et les spywares surveillent les activités des utilisateurs tout en dérobant des informations sensibles. Les virus et chevaux de Troie peuvent quant à eux endommager ou détruire des données, perturber les opérations et compromettre la sécurité globale du système.

 

 

Comment prévenir et répondre aux failles de sécurité

 

4 bonnes pratiques pour prévenir les failles de sécurité

 

1. Mettre à jour régulièrement les logiciels et les systèmes

 

Maintenir à jour les logiciels, les systèmes et les applications est une première ligne de défense indispensable pour éviter les failles de sécurité. Pour ce faire, il s’agit d’effectuer les mises à jour dès qu’elles sont proposées par le service. En complément et pour ne manquer aucune information, les développeurs publient régulièrement des mises à jour sur le référentiel CVE pour corriger les vulnérabilités découvertes. 


Cependant et comme nous l’avons déjà vu plus haut, les pirates exploitent parfois des failles de sécurité avant que les correctifs ne soient disponibles ; c’est ce que l'on appelle des attaques zero-day. C'est pourquoi une veille continue sur les vulnérabilités des logiciels utilisés est essentielle. En étant rigoureux et réactifs dans la mise en œuvre des mises à jour, les DSI peuvent réduire le risque d'exploitation des failles et renforcer la résilience de leurs systèmes face aux cybermenaces.

 

2. Appliquer les bonnes pratiques en matière de mots de passe

 

Les mots de passe forts sont un élément fondamental de la sécurité des informations. Ils jouent un rôle important dans la protection des comptes utilisateur et des systèmes contre les accès non autorisés. En effet, d’après une étude de Verizon, 81 % des notifications de violations de données mondiales seraient liées à une problématique de mots de passe.4

Selon les critères de l’ANSSI, un bon mot de passe doit être complexe, combinant des lettres majuscules et minuscules, des chiffres et des caractères spéciaux. Il est également recommandé d'éviter l'utilisation de mots courants ou d’informations personnelles facilement devinables.5 


Le saviez-vous ? Pour vous accompagner dans les bonnes pratiques liées aux passwords, le gestionnaire de mots de passe LockPass offre une solution sécurisée pour générer, stocker et partager des mots de passe forts et chiffrés pour tous les membres de votre équipe.


 

3. Réaliser des audits de sécurité et des tests d'intrusion

 

Les audits cyber et les tests de pénétration (pentest) jouent un rôle central dans la protection des systèmes informatiques et la prévention des failles de sécurité. 

 

Les audits de sécurité ont pour objectif d’analyser le SI d’une organisation pour détecter les éventuelles vulnérabilités, telles que des configurations incorrectes, des défauts dans les politiques de sécurité ou des failles dans les logiciels utilisés. Ils sont essentiels pour identifier les risques avant qu'ils ne soient exploités par des cyberattaquants.


D'autre part, les tests d’intrusion simulent des attaques sur le réseau ou les applications de l'entreprise. Réalisés par des professionnels de la sécurité informatique appelés pentesters, ces tests visent à évaluer la résistance des systèmes face à divers scénarios d'attaque. Les résultats des tests de pénétration fournissent des informations concrètes sur les failles existantes, et permettent aux équipes de sécurité de prendre les mesures correctives appropriées.

 

 

4. Former et sensibiliser les collaborateurs à la cybersécurité

 

D’après un rapport de l'Institut Ponemon en partenariat avec IBM, 90 % des failles de sécurité sont attribuables à des erreurs humaines, mettant en évidence l’incidence du facteur humain dans les incidents de sécurité6. Face à ce constat, une seule solution s’impose : sensibiliser les collaborateurs à la cybersécurité !


Pour former les employés aux meilleures pratiques de sécurité et à la reconnaissance des cybermenaces, une formation régulière sur la cybersécurité en entreprise est donc essentielle. Ces sessions doivent inclure des conseils sur la création de mots de passe forts, la détection des tentatives d’hameçonnage, l'utilisation sécurisée des technologies internes, et la gestion des données sensibles

 

Ces temps de formation sont des moyens tout trouvés, pour réduire le risque d'incidents de sécurité causés par des erreurs humaines.

 

 

En combinant ces 4 bonnes pratiques, les organisations peuvent réduire considérablement les risques de compromissions liées à des failles de sécurité. Cependant, pour maximiser l’effet de ces mesures, il est indispensable de rester en veille constante, mais aussi d’investir dans des solutions de cybersécurité avancées. Pour les professionnels, cela permettra non seulement de prévenir les incidents de sécurité, mais aussi de renforcer la confiance de leurs clients et partenaires envers leur capacité à protéger efficacement leurs données et leurs activités contre les menaces numériques.

 

 

 

Sources : 

1 : https://info.coalitioninc.com/cyber-threat-index.html


2 : https://www.veracode.com/state-software-security-2024-report

 

3 : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-les-failles-zero-day-explosent-en-2023-93364.html

 

4 : https://www.cnil.fr/fr/mots-de-passe-une-nouvelle-recommandation-pour-maitriser-sa-securite

 

5 : https://cyber.gouv.fr/bonnes-pratiques-protegez-vous

 

6 : https://www.ibm.com/downloads/cas/GAVGOVNV